1 – LA THÉRAPIE PAR LA LUMIÈRE ou PHOTONS THÉRAPIE
La nature guérit !!
La lumière et, en particulier, la lumière du soleil représente la base de toute forme de vie sur la terre. C’est la source primitive d’énergie, elle est utilisée par les êtres vivants pour en extraire de la nourriture de grande qualité, de la mobilité etc.…
Comment fonctionne l’appareil 100 – T ?
Il utilise les vertus curatives de la lumière. Il produit des ondes lumineuses infrarouges irrégulières et non cohérentes avec des fréquences prédéterminées et pulsées. Son diffuseur dispose de 84 diodes (Ga-Al As) qui couvrent presque la totalité de la bande des longueurs d’ondes de 700Nm à 900Nm.
Cette largeur de bande, la densité d’énergie déployée et la répartition anarchique des biophotons permettent la stimulation efficace des hormones et du tissu.
2 – LA STIMULATION DES HORMONES
La lumière est composée, selon la théorie de Quanta, de faisceaux lumineux également appelés photons. La lumière est absorbée par le tissu, les photons de la lumière non cohérente se multiplient dans le corps et se répartissent de façon anarchique dans celui-ci.
Lorsque les photons arrivent par les ramifications du système nerveux puis par la moelle épinière jusqu’au cerveau, ils y modifient la production d’hormones, comme l’endorphine, la sérotonine, les DHEA et le cortisol qui sont ramenées par le traitement à leur équilibre naturel.
Dans l’appareil 100 – T, la forme de l’onde et les impulsions sont commandées par un microprocesseur et permettent aux hormones éphémères d’absorber des photons.
Les endorphines, appelées également les morphines endogènes appartiennent à un groupe de substances fabriquées par le corps et ayant un effet anti-douleur. Elles ressemblent de par leur composition chimique à de la morphine. Elles ont été constatées à divers endroits du corps et du système nerveux.
Les endorphines sont considérées responsables ou ayant tout au moins une influence sur certaines fonctions dans le corps, comme par exemple le soulagement de la douleur, le bien-être, l’influence contrôlée quant à la réaction du corps dans des situations de stress, les mécanismes homéostatiques, ainsi que sur les fonctions cardio-vasculaires, respiratoires, intestinales et thermorégulatrices.
La dépendance et la tolérance quant aux analgésiques narcotiques comme par exemple la morphine, sont attribuées à la réduction de la production naturelle d’endorphines par le corps.
Le cortisol a été décelé et mesuré pour la première fois dans les années 80. Cette hormone comme l’adrénaline joue un rôle essentiel lors des situations de stress, de chocs émotionnels ou d’événements déclenchant du stress et entraînant une production plus élevée de cortisol.
Lors de la stimulation avec l’appareil 100 – T, le taux de cortisol est modifié, le patient ressent une détente durable et bienfaisante.
Les sérotonines appartiennent au groupe des dopamines. Ce sont des amphétamines naturelles qui peuvent influencer l’appétit.
Lors de la stimulation avec l’appareil 100 – T, les sérotonines sont modifiées, ce qui a un effet sur la régulation de l’appétit, ce sont des régulateurs naturels.
3 – APPAREIL 100 – T ET TRAITEMENT ANTI-TABAC
La technique proposée a demandé cinq ans d’expériences et de mise au point et n’est comparable à aucune autre méthode déjà existante.
Le traitement consiste à diriger des rayons lumineux (ondes électromagnétiques que sont les infrarouges) sur des terminaisons nerveuses très précises du corps humain : oreilles, poignets et la nuque au point ZNS.
Ces infrarouges ainsi émis vont être absorbés par les cellules de la peau par l’intermédiaire des terminaisons nerveuses. Nous allons alors déclencher la production d’endorphines au niveau des neurotransmetteurs.
Dans un premier temps, le taux d’endorphines naturelles dans le corps va monter à un niveau élevé, supprimant ainsi pour le fumeur la sensation de dépendance et de manque.
Dans un second temps, le traitement agira comme une thérapie au niveau des neurones, remettant en route la production normale et naturelle des endorphines.
Il faut environ 3 à 4 jours pour que les neurones reprennent leur activité normale de production d’endorphines, à condition bien sûr qu’il y ait arrêt total de tabac dès la première séance et, qu’en conséquence, les récepteurs des neurones ne soient plus stimulés par la nicotine.